CAPITALE N° 15.
BRUXELLES ma belle, attends moi j’arrive, bientôt je prends la dérive !
Comment ne pas commencer par un panoramique de la GRAND PLACE, un endroit magnifique.
voilà la GRAND PLACE, le vrai coeur de la ville. COCTEAU disait « le plus beau théâtre du monde » et HUGO « la plus belle place du monde ». Ce qui frappe c ‘est l’harmonie malgré la disparité de tous ces monuments et palais. Ce mélange Gothique, Renaissance et Baroque est en tout point une réussite.
Comme la petite sirène à COPENHAGUE, ici l’incontournable c’est le MANNEKEN PIS.
Mais saviez vous qu’il avait une copine ? JANNEKE
IMPASSE DE LA FIDELITE !!!!! çà ne s’invente pas ! ah! bon! La fidélité serait une impasse?
Autre passage obligé, l’ATOMIUM n’a rien à voir avec un quelconque atome, comme on pourrait croire. Ce n’est que la maille du cristal de fer grossie 165 milliards de fois.
Le chateau royal et le belvédère à LEOPOLD 2 près du parc LAEKEN
A ne pas confondre avec le PALAIS ROYAL qui lui est centre ville
Le jardin botanique
Les néons, les LEON, les noms de DIEU, sublime décadence de la danse des panses, ministère de la bière artère vers l’enfer… autour de BROUCKERE.
« C’était au temps où BRUXELLES chantait »
La place ROYALE et ses musées
Et le musée MAGRITTE, le plus grand peintre belge contemporain, qui ne se considérait pas comme un peintre, ni comme un artiste d’ailleurs.
MAGRITTE était quelqu’un de simple, qui habitait en ville, qui avait son nom sur sa sonnette, qui est allé rechercher une amie d’enfance GEORGETTE BERGE à qui il avait dit qu’ils se marieraient ensemble.
MAGRITTE est un anarco communiste farouche, sans avoir milité. Profondément marqué par le suicide de sa mère, noyée dans la SAMBRE et qu’il a vu quand on l’a repêché, sa chemise de nuit remontée sur son visage, ce qui explique certains tableaux où les visages sont dissimulés sous des tissus ou des pommes ou des fleurs.
Il commence par faire des illustrations dans les journeaux, puis des affiches. Une des plus célèbres est son personnage préféré, FANTOMAS.
puis quelques influences, comme DE CHIRICO.
MAGRITTE ne peint pas la nuit, ne saute pas sur son chevalet dès qu’il a une idée. Sous son chapeau melon légendaire, c’est l’effervescence constante. Il adore retrouver ses amis surréalistes belges, car cela s’est très mal passé avec ANDRE BRETON et le groupe de PARIS. Ils se réunissent pour trouver les titres des tableaux de MAGRITTE. Alors si vous vous amusez à essayer de trouver un rapport entre le tableau et son titre, bon courage!!!!
L’ART DE LA CONVERSATION
L’INCENDIE
et la déclinaison du « Madame RECAMIER » de DAVID
Et les fameux tableaux au sujet de la représentation de la pipe
Le surréalisme a influencé tous les mouvements d’avant garde, pas étonnant que les ETATS UNIS l’ait adoré ! Il peint, il décline des thèmes pour que GEORGETTE ait son confort, au point de perdre quelques uns de ses amis qui lui reprochent d’être devenu un peintre commercial.
Pas très loin de là, NOTRE DAME DU SABLON, de style gothique flamboyant fut agrandie, embellie grâce à la légende d’une fille qui a entendu des voix….Non ce n’est pas JEANNE. C’est BEATRICE qui est allée volé une statue de la vierge à ANVERS pour la ramener ici.
et le petit square des SABLONS où sont représentés les corporations des metiers de l’époque
Et pour finir sur une note désagréable, l’endroit où les technocrates européens, plus ou moins corrompus par les multinationales élaborent des décrets, des lois, qui dans l’ensemble ne satisfont pas les populations, pour ne pas en dire plus !